Documents  DARMON Olivier | enregistrements trouvés : 9

Présentation de 15 maisons, différentes par la taille, les matériaux et le contexte, construites au cours des années 2010-2011. Economiques en termes de coûts de construction, mais aussi en termes d'usage, elles prennent en compte les nouvelles préoccupations en matière d'économies d'énergie par leur implantation, une isolation adaptée et certains dispositifs architecturaux. Photos, plans, dessins techniques ainsi qu'une notice développée racontent la genèse de chaque projet et sa spécificité.

Ce livre présente 15 projets de réhabilitations, à partir de bâtiments modestes : grange, pavillon, garage, hangar, cabane, abri de jardin, atelier, débarras, cabanon. Ces délaissés urbains, qui n’ont pour la plupart pas pour destination première l’habitation, obligent architectes et futurs occupants à un nouveau regard sur les volumes, à une inventivité accrue en termes de réaménagement et d’optimisation de l’espace. L'ouvrage fait découvrir
des exemples de reconversions très maîtrisées tant sur le plan de la conception que des budgets.

Vingt-quatre exemples récents, français et étrangers, d'habitats associés à une serre sont présentés par un texte, un descriptif technique et des illustrations (photos et plans). Les projets sont économiques tout en offrant des espaces de vie supplémentaires qui renouvellent la typologie de l'habitat. En introduction, un bref rappel historique sur la construction des serres et un entretien avec les architectes Anne Lacation et Jean-Philippe Vassal (maison Latapie en Gironde, 1993, maison à Coutras, 2000).

La transition énergétique exhorte à ne plus démolir pour reconstruire. Dans ce contexte, Ré:habiter examine différentes manières d’intervenir autrement sur des bâtiments dégradés, désaffectés, promis à la démolition : habitat ou équipement, hangar, grange, garage, bunker... La vingtaine de projets internationaux présentés ici font le choix de mises en œuvre simples limitant la consommation de matériaux et d’équipements, esquissant ainsi une approche sensible et pragmatique de l’écoconception – moins technicienne, plus inventive et plus économique – hautement profitable à l’architecture. La posture adoptée relève davantage de l’appropriation, de la valorisation, de la réutilisation que de la réhabilitation ou de la rénovation. Les caractéristiques du bâtiment existant sont considérées comme une ressource plutôt qu’un écueil, des éléments à exploiter plutôt qu’à conformer.