Sous la forme d'un dialogue avec la journaliste Dominque de Montalvon, Claude Allègre persiste dans sa dénonciation d'un certain nombre de thèses scientifiques sur l'évolution du climat, et leur caractère catastrophiste. Il fustige le GIEC (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) et une certaine écologie politique culpabilisante qui prône la peur pour imposer le mythe du réchauffement climatique au monde dans le seul but de limiter le développement des pays du Sud et de permettre à l'Occident de garder son leadership économique, d'où l'échec du Sommet de Copenhague. Il affirme que le changement climatique ne serait pas une priorité pour les gouvernements face aux problèmes de la surpopulation, de l'eau potable et de la faim.

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Lieu d'édition : Paris

Localisation : Bibliothèque