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Documents  Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée | enregistrements trouvés : 4

     

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- 100
Cote : ARCH-CONT/289

Le village de vacances des Carrats, conçu par l'architecte Georges Candilis, occupe près de cinq hectares en bord de plage, quasiment à l’extrémité ouest de Port-Leucate. Il est fait de petits bungalows à un seul étage qui possèdent chacun leur patio, et de quelques collectifs à deux étages. L’ensemble se présente sous la forme minimaliste de cubes de béton assemblés et crépis en blanc, couverts par un toit terrasse. Toute la conception du village est adaptée à un mode d’existence estival où la vie extérieure occupe la première place. A l’intérieur, un agencement ergonomique permet de profiter d’un maximum de confort en un minimum d’espace. A l’extérieur, de nombreux lieux publics, allées, aires de jeux, placettes… ont pour rôle de favoriser les échanges et les rencontres entre résidents. Ce village de vacances fait partie des premières constructions réalisées au moment de la création de Port Leucate à la fin des années 1960, dans le cadre de la mission interministérielle d’aménagement du littoral du Languedoc-Roussillon, appelée Mission Racine. Son but était de transformer et de re-dynamiser ce littoral long de 180 kilomètres en y créant 500 000 lits touristiques. Comment le village a-t-il évolué depuis ? Pourquoi aujourd'hui le labelliser au titre du "Patrimoine du XXe siècle" ?

Carnet écrit par Michèle François de la DRAC LR qui a monté le dossier de labellisation au titre du "Patrimoine du XXe siècle" et d’inscription au titre des monuments historiques, Christiane Amiel, ethnologue, qui a mené une enquête de terrain et Renaud Barrès, architecte, directeur du CAUE Aude.
Le village de vacances des Carrats, conçu par l'architecte Georges Candilis, occupe près de cinq hectares en bord de plage, quasiment à l’extrémité ouest de Port-Leucate. Il est fait de petits bungalows à un seul étage qui possèdent chacun leur patio, et de quelques collectifs à deux étages. L’ensemble se présente sous la forme minimaliste de cubes de béton assemblés et crépis en blanc, couverts par un toit terrasse. Toute la conception du ...

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- 80
Cote : ENV-EAU-LIT/66

"Rester sur le bord. Ecouter la mer. Ramasser les histoires déversées par les vagues. révéler les émotions qui se dessinent comme des frémissements de vent à la surface. Raconter ceux qui habitent la mer. ceux qu'habitent la mer. Faire parler la mer, c'est parler d'eux, c'est parler de nous". Confrontée à la question de la mer et de ses débordements, Hélène Dattler est partie le long du littoral à la rencontre de ses habitants afin de collecter des récits singuliers, des images et des sentiments.
Elle livre ici un carnet de bord impressionniste dans lequel elle recompose des fragments de vies façonnées par la mer et nous invite à un voyage en territoire intime.
"Rester sur le bord. Ecouter la mer. Ramasser les histoires déversées par les vagues. révéler les émotions qui se dessinent comme des frémissements de vent à la surface. Raconter ceux qui habitent la mer. ceux qu'habitent la mer. Faire parler la mer, c'est parler d'eux, c'est parler de nous". Confrontée à la question de la mer et de ses débordements, Hélène Dattler est partie le long du littoral à la rencontre de ses habitants afin de collecter ...

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- 120
Cote : ENV-EAU-LIT/65

Début 2002, Les Archives du Sensible produisent un à deux Carnets du Parc par an. À partir d’une recherche thématique, chaque livret, abondamment illustré, propose une approche autonome de l’ethnologie, la sociologie ou l’histoire des richesses du territoire.

Des éléments naturels à la diversité des espaces géographiques, des mythes aux techniques, les Carnets montrent comment l’homme a apprivoisé symboliquement et concrètement le territoire. Avec ingéniosité et force vive pour dynamiser en multiples usages celui, humide et lagunaire du littoral avec ses étangs et ses pêcheurs, comme celui, sec, minéral et sauvage, de la garrigue et de la chasse, autrefois dévolu au pastoralisme.

A propos de ce carnet...

Raconter le canal de la Robine, c'est retracer 2000 ans d'histoire : relater les vicissitudes du fleuve Aude jusqu'à la mer et les fluctuations économiques de la Narbonnaise, faire le récit d'une aventure technologique et humaine. Mais parcourir la Robine, c'est aussi se laisser happer par les courbes souples de son tracé, le caractère changeant des paysages, la ligne des arbres majestueux ou ployés par le vent. Un bien universel, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco avec le canal du Midi et le canal de Jonction.
Début 2002, Les Archives du Sensible produisent un à deux Carnets du Parc par an. À partir d’une recherche thématique, chaque livret, abondamment illustré, propose une approche autonome de l’ethnologie, la sociologie ou l’histoire des richesses du territoire.

Des éléments naturels à la diversité des espaces géographiques, des mythes aux techniques, les Carnets montrent comment l’homme a apprivoisé symboliquement et concrètement le territoire. ...

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- 96
Cote : ENV-EAU-LIT/67

Enrique Ramirez est habité par la mer. La mer, telle qu'elle apparait dans les films et les installations de l'artiste, est un espace de voyage et d'exil, un lieu de mémoire individuelle et collective. C'est une matière sensible qui porte nos ambivalences et nos désirs, une étendue poétique et politique.

Sommaire : Effacer le monde - Annabelle Ténèze Lauso la mare e tente'n terro - Enrique Ramirez Naviguer par temps d'instabilité - Anna Kerekes Le territoire - Enrique Ramirez Erase the world - Annabelle Ténèze Navigating in times of instability - Anna Kerekes.
Enrique Ramirez est habité par la mer. La mer, telle qu'elle apparait dans les films et les installations de l'artiste, est un espace de voyage et d'exil, un lieu de mémoire individuelle et collective. C'est une matière sensible qui porte nos ambivalences et nos désirs, une étendue poétique et politique.

Sommaire : Effacer le monde - Annabelle Ténèze Lauso la mare e tente'n terro - Enrique Ramirez Naviguer par temps d'instabilité - Anna ...

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