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Documents  DIAZ Isabel | enregistrements trouvés : 3

     

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- 157
Cote : ENV-ESP-NAT/64

Quand l’« or blanc » a longtemps constitué l’une des principales ressources des zones de moyenne montagne situées autour de mille mètres d’altitude, comment ne pas se préoccuper de leur devenir à l’heure du réchauffement climatique ?

La neige fond et, avec elle, la manne des sports d’hiver. L’urgence est à la réflexion afin de dessiner les pistes d’une transition — écologique, économique, humaine — qui s’impose. Conduits par le ministère en charge de l’urbanisme, trois Ateliers des territoires ont été organisés à cette fin dans les Hautes-Vosges, le Jura et les Bauges (Alpes du Nord).

Écologiquement fragiles, souvent enclavés, conscients des menaces qui pèsent sur leurs ressources, ces territoires « réchauffés » ont d’ores et déjà esquissé des solutions. Extension des activités de loisir aux quatre saisons, valorisation de l’agriculture et de l’élevage, rattachement des industries locales à des filières à grande échelle, par exemple.

Comment aller plus loin ? Comment faire en sorte que les acteurs locaux s’approprient encore davantage cette nécessité de transition ? Comment ajuster au mieux les politiques publiques ? Ce livre, qui donne à entendre les multiples voix qui se sont exprimées pendant les Ateliers, fait état des situations propres aux territoires cibles. Mais, bien au-delà, c’est une compréhension fine et une vision élargie des enjeux propres à la moyenne montagne qu’il offre à tous en cette période de réinvention obligée. Une approche indispensable à un accompagnement adapté et à une intégration réussie dans une dynamique à la fois locale et globale.
Quand l’« or blanc » a longtemps constitué l’une des principales ressources des zones de moyenne montagne situées autour de mille mètres d’altitude, comment ne pas se préoccuper de leur devenir à l’heure du réchauffement climatique ?

La neige fond et, avec elle, la manne des sports d’hiver. L’urgence est à la réflexion afin de dessiner les pistes d’une transition — écologique, économique, humaine — qui s’impose. Conduits par le ministère en ...

MONTAGNE ; TRANSITION ECOLOGIQUE

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- 256
Cote : URB-AME-URB/272

Le charme des vieilles pierres et des ruelles étroites ne suffit pas à endiguer l’appauvrissement qui gagne aujourd’hui les villes, petites et moyennes, et leur territoire. Les centres se vident de leurs commerces et de leurs habitants, les services ferment, les emplois disparaissent.
Comment lutter contre ce processus ? Comment revitaliser ces villes, en particulier leurs quartiers historiques ? En 2018, l’Atelier des territoires a proposé à sept d’entre elles d’explorer la voie du patrimoine, au sens large, comme source de leur redynamisation. Le paysage, l’eau, les anciens cheminements, l’architecture traditionnelle ont ainsi été envisagés comme leviers possibles lors d’ateliers – à Bar‑le‑Duc, Chaumont, Saint‑Dié‑des‑Vosges, Figeac, Mende, Gien et Romorantin‑Lanthenay – animés par François Nowakowski (Urbitat+), Jérémie Bedel (Studio Mundis) et Bertrand Folléa (Folléa‑Gautier).
Renouer des liens entre les différentes ressources et susciter de nouvelles synergies, élaborer un récit fédérateur en revisitant le patrimoine ou reconsidérer les richesses des centres anciens : autant de points d’appui pour les scénarios présentés ici, dont les défis à relever sont considérables.
Le charme des vieilles pierres et des ruelles étroites ne suffit pas à endiguer l’appauvrissement qui gagne aujourd’hui les villes, petites et moyennes, et leur territoire. Les centres se vident de leurs commerces et de leurs habitants, les services ferment, les emplois disparaissent.
Comment lutter contre ce processus ? Comment revitaliser ces villes, en particulier leurs quartiers historiques ? En 2018, l’Atelier des territoires a proposé à ...

centre-bourg ; PATRIMOINE

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- 144
Cote : URB-GEN/85

Avec ses six équipes lauréates choisies parmi soixante et une candidatures, l'édition 2020 du Palmarès des jeunes urbanistes conforte l'effervescence et l'engouement que suscite la démarche de soutien aux jeunes professionnels, portée par le ministère en charge de l'urbanisme. Le sextette retenu frappe par la diversité des profils, embrassant tous les champs d'action de l'urbanisme : architectes (FCML) et paysagistes (Altitude 35) côtoient des collectifs ancrés dans la sphère de l'urbanisme transitoire (Bellastock, Yes We Camp), des stratèges urbains aguerris (Le Sens de la ville) et une conceptrice qui a fait de la permanence architecturale et urbaine son mode d'action privilégié (Sophie Ricard).
Tous ont assimilé le caractère peu soutenable de notre modèle de développement et pris acte de la standardisation et de la banalisation des territoires ? ; tous ont fait leur la posture transdisciplinaire de l'urbaniste et ont compris l'exigence d'être à la fois médiateur, détenteur d'un savoir-faire et embarqué sur un terrain d'action politique. Leurs réponses tendent à bousculer les barrières mentales et les mécanismes "? en silo ? " de la fabrication et de la gestion des villes et passent par des démarches empiriques et expérimentales à la recherche de nouveaux outils et de nouvelles méthodes de projet.
Il s'agit non pas de bâtir à tout prix mais d'accompagner le processus lent de la transformation d'un lieu, d'en dénicher la singularité - fondée sur la puissance de sa géographie, de son paysage ou des liens sociaux qui l'animent -, de se poser la question de sa "? mise en usage ? " , du réemploi des matériaux, de l'économie circulaire... bref de mobiliser tout ce qu'il est nécessaire et possible pour changer l'organisation collective de nos quotidiens.
Façonner des terrains d'entente pour faire société. Si la conception d'un projet paysager peut être connue et documentée, il n'en va pas de même de ses transformations sous l'action du temps. C'est dans ce vide critique et analytique que s'inscrit cet ouvrage. S'ouvrant sur le récit d'un projet qui permet de se familiariser avec la production ordinaire d'un espace public, il se poursuit par sept études de cas qui illustrent chacune un item d'une grammaire de l'altération : la ruine, l'île, le socle, la fondation, le bois, le germe et le pôle.
Grâce à l'exposition d'un cadre théorique susceptible de hiérarchiser cette série de données, l'auteur révèle comment, à travers l'altération, les dynamiques internes du terrain initial reconfigurent l'espace aménagé. Comme si, par le flux et le reflux du projet, c'était finalement le site qui advenait à lui-même. Le projet de paysage peut donc, par ses errements, devenir le vecteur d'une écologie concrète de l'espace habité comme support d'une nouvelle théorie critique de l'espace public.
Avec ses six équipes lauréates choisies parmi soixante et une candidatures, l'édition 2020 du Palmarès des jeunes urbanistes conforte l'effervescence et l'engouement que suscite la démarche de soutien aux jeunes professionnels, portée par le ministère en charge de l'urbanisme. Le sextette retenu frappe par la diversité des profils, embrassant tous les champs d'action de l'urbanisme : architectes (FCML) et paysagistes (Altitude 35) côtoient des ...

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