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Documents  SOCIOLOGIE | enregistrements trouvés : 9

     

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- 185
Cote : SOC-GEN/18

Faut-il accepter l'arbitraire du pouvoir ou lui opposer son propre arbitraire ? Communément, l'arbitraire est honni quel qu'il soit et d'où qu'il vienne. Cependant dans un monde où le consensus est universellement requis, d'où toute violence critique est bannie, ne convient-il pas de tenter l'éloge des humeurs singulières qui pontuent la moindre de nos actions ? L'auteur tente ici l'analyse de cette notion rusée dont on ne sait si elle est remède ou poison.
Faut-il accepter l'arbitraire du pouvoir ou lui opposer son propre arbitraire ? Communément, l'arbitraire est honni quel qu'il soit et d'où qu'il vienne. Cependant dans un monde où le consensus est universellement requis, d'où toute violence critique est bannie, ne convient-il pas de tenter l'éloge des humeurs singulières qui pontuent la moindre de nos actions ? L'auteur tente ici l'analyse de cette notion rusée dont on ne sait si elle est ...

SOCIOLOGIE

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V

- 200
Cote : SOC-GEN/22

La démarche socio-anthropologique proposée appréhende les faits à la source de leur effectuation. Elle permet de saisir les phénomènes comme la fragmentation des sociétés développées, le retour des identités nationalitaires ou encore le processus de mondialisation.

SOCIOLOGIE ; ANTHROPOLOGIE

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- 290
Cote : SOC-URB/39

La participation, « l'empowerment » (le développement du pouvoir d'agir), l'action communautaire et le design social sont autant de modalités contemporaines de l'« agir social » se réclamant d'une perspective citoyenne. Mais cette perspective se heurte à une très grande inégalité de fait qui se traduit par des formes de domination, d'aliénation, d'assujettissement et d'empêchement. L'émancipation est au cœur de projets associatifs, de politiques publiques, de références institutionnelles, mais qu'en est-il de leur perspective citoyenne ? Car si l'émancipation est souvent perçue comme « une évidence », elle est aussi vécue comme un risque, celui de l'immaîtrisable bouleversement de l'ordre des choses. Mais viser l'égal accès des citoyens au politique, c'est inévitablement oser l'émancipation.
La participation, « l'empowerment » (le développement du pouvoir d'agir), l'action communautaire et le design social sont autant de modalités contemporaines de l'« agir social » se réclamant d'une perspective citoyenne. Mais cette perspective se heurte à une très grande inégalité de fait qui se traduit par des formes de domination, d'aliénation, d'assujettissement et d'empêchement. L'émancipation est au cœur de projets associatifs, de politiques ...

SOCIOLOGIE

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- 146
Cote : SOC-RUR/26

Ce quatrième numéro des Cahiers de l'Office tente une approche kaleïdoscopique du vin, de la vigne dans la culture languedocienne.

AGRICULTURE ; HISTOIRE ; LANGUEDOC-ROUSSILLON ; SOCIOLOGIE ; VIGNE

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- 242
Cote : SOC-URB/44

Garçons cogneurs et violeurs, filles démunies et outragées sont les deux versants d'un même stéréotype urbain véhiculé par les media. Pourtant, l'observation de la réalité quotidienne dément cette analyse. Les garçons sont régulièrement accusés de manquer de virilité et sont les victimes de sévices corporels tandis que le filles ont appris à se battre et prennent l'initiative d'agression. Dans ce cadre, continuer de propager les éternels et mêmes stéréotypes reviennent à légitimer symboliquement la soumission de la féminité à la masculinité.
Garçons cogneurs et violeurs, filles démunies et outragées sont les deux versants d'un même stéréotype urbain véhiculé par les media. Pourtant, l'observation de la réalité quotidienne dément cette analyse. Les garçons sont régulièrement accusés de manquer de virilité et sont les victimes de sévices corporels tandis que le filles ont appris à se battre et prennent l'initiative d'agression. Dans ce cadre, continuer de propager les éternels et ...

SOCIOLOGIE ; GENRE ; VILLE ; MIXITE SOCIALE

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- 134
Cote : SOC-URB/29

Résumé :
Les citadins s'en aperçoivent lorsqu'ils échangent avec des ruraux ou baguenaudent dans les vastes espaces champêtres, forestiers ou balnéaires : chaque jour, parcourant les rues, glissant dans les boyaux et les cicatrices bouturées de la ville, ils ne cessent d'adapter leur corps, de le forcer, de le contraindre. Leurs cinq sens sont soumis à la loi de cet "organisme" de béton, de verre et de fer, dans lequel les maigres éléments de nature sont enchâssés (mais non nécessairement sertis) de grilles et de chaînes... Le corps sur le bitume, comme l'arbre dans la ville, se métamorphose pour continuer à vivre, tantôt anesthésié par le bruit, tantôt enflammé par les parfums, tantôt bridé, tantôt libéré... Thierry Paquot, enseignant curieux, homme de radio et d'édition, n'hésite pas à entremêler l'histoire, l'urbanisme, la philosophie, la littérature et les sciences pour démontrer qu'il n'existe pas de "corps en soi". Mais que nos comportements, nos habitudes, notre sensibilité elle-même, fonctionnent selon une étonnante correspondance, toute baudelairienne, au monde extérieur. La violence de ce monde urbain, son aridité, sa noirceur, sa frivolité, sa langueur, son artificialité, comme ses moments de répit et ses gestes pacifiés, affectent profondément, non seulement notre rapport au corps mais aussi à notre humanité.

Biographie:
Thierry Paquot, philosophe, est professeur des universités (Institut d'urbanisme de Paris, Paris XII-Val-de-Marne), éditeur de la revue Urbanisme, producteur de "Côté ville" sur France-Culture dans Métropolitains de François Chaslin et responsable scientifique du programme La Forme d'une ville au Forum des images à Paris. Il est l'auteur de Les Passions Le Corbusier (Le Félin, 1990), L'Utopie ou l'idéal piégé (Hatier, 1996), L'Art de la sieste (Zulma, 1998) et Eloge du luxe : de l'utilité de l'inutile (Bourin éditeur, 2005).

Sommaire:
["Dans la rue : urbains, trop urbains !","Des pieds et des mains : chorégraphie urbaine","Debout, assis, couché : entre béton et bitume","Les cinq sens : cette ville qui peine à jouir","Marcher : mettre ses pas dans les pas de la ville"]
Résumé :
Les citadins s'en aperçoivent lorsqu'ils échangent avec des ruraux ou baguenaudent dans les vastes espaces champêtres, forestiers ou balnéaires : chaque jour, parcourant les rues, glissant dans les boyaux et les cicatrices bouturées de la ville, ils ne cessent d'adapter leur corps, de le forcer, de le contraindre. Leurs cinq sens sont soumis à la loi de cet "organisme" de béton, de verre et de fer, dans lequel les maigres éléments de ...

SOCIOLOGIE

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- 346
Cote : SOC-URB/45

Comment les femmes se représentent-elles et vivent-elles la ville ? En fonction de quels critères, motivations, attraits, nécessités, précautions et même préventions se déplacent-elles ?
S’intéresser aux représentations et aux pratiques citadines des femmes, Bordelaises en l’occurrence, tient ici à deux raisons. La première part du constat que les femmes, qui assument toujours la plus grosse part des tâches domestiques (espace privé), ont également investi, depuis plusieurs décennies, la sphère du travail rémunéré et de l’espace public. Il résulte pour elles, de cette double fonction, un rapport à la ville riche et complexe, qui fait du « deuxième sexe » celui de l’urbanité la plus accomplie. Cependant, l’expression même de « deuxième sexe » traduit une situation de domination que révèle bien le terme en débat de « genre ». S’agit-il d’une domination masculine ? D’un phénomène plus large : patriarcal, familial, social ? Les femmes sont-elles victimes et/ou, dans une certaine mesure, complices de leur situation de dominées ? Toujours est-il qu’elles ne font pas usage de la ville et de ses ressources dans une totale sérénité et liberté.
Ce sont à ces limites, à ces « murs invisibles » qui bornent l’espace de vie des citadines que s’attache ce livre-enquête. En s’efforçant d’identifier et de comprendre la nature des relations que les femmes tissent entre leur intérieur (le logement, la maison) et l’extérieur, cet ouvrage tente d’expliquer le plaisir que certains lieux leur procurent et l’aversion qu’elles éprouvent pour d’autres. Il ressort de ce tableau des portraits d’une telle variété que la validité même de la désignation d’un groupe homogène de femmes est questionnée.

Guy DI MÉO est Professeur à l’Université de Bordeaux III-Michel de Montaigne où il enseigne la géographie sociale. Il est membre de l’UMR 5185 ADES du CNRS.
Comment les femmes se représentent-elles et vivent-elles la ville ? En fonction de quels critères, motivations, attraits, nécessités, précautions et même préventions se déplacent-elles ?
S’intéresser aux représentations et aux pratiques citadines des femmes, Bordelaises en l’occurrence, tient ici à deux raisons. La première part du constat que les femmes, qui assument toujours la plus grosse part des tâches domestiques (espace privé), ont ...

GENRE ; GEOGRAPHIE ; VILLE ; SOCIOLOGIE

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- 185
Cote : POL/35

La montée en puissance de l’urgence écologique n’est pas seulement en train de bouleverser les échiquiers politiques. Elle remet en cause nos modes de vie, nos façons de consommer, de produire, de financer et de gouverner, et donc le modèle dominant de l’économie des richesses. Pour absorber cette onde de choc, et en tirer le meilleur, il ne suffira pas de « verdir » nos pratiques ni de critiquer les pouvoirs en place. Il faudra disposer d’un autre cadre de pensée : c’est l’ambition de ce livre.
En s’appuyant sur l’analyse des « systèmes de satisfaction » qui ont précédé et préparé l’actuelle société de consommation et sur les exemples de pouvoirs locaux qui ont réussi à engager des conversions écologiques efficaces, Jean Haëntjens jette les bases de ce que pourrait être une économie des satisfactions. Il utilise ensuite ce cadre pour construire des réponses concrètes et inédites à trois défis contemporains : l’inertie de nos sociétés face à l’urgence écologique, l’implosion de la démocratie et la montée en puissance d’un cybercapitalisme qui aspire à gouverner le monde.
Au-delà de son apport conceptuel, Jean Haëntjens propose une méthode politique fondée sur la notion de satisfaction. Il s’adresse à toutes celles et tous ceux qui veulent faire advenir une société compatible avec les limites de la planète. Et, plus largement, à toutes les personnes préoccupées par les défis écologiques et sociopolitiques contemporains.
La montée en puissance de l’urgence écologique n’est pas seulement en train de bouleverser les échiquiers politiques. Elle remet en cause nos modes de vie, nos façons de consommer, de produire, de financer et de gouverner, et donc le modèle dominant de l’économie des richesses. Pour absorber cette onde de choc, et en tirer le meilleur, il ne suffira pas de « verdir » nos pratiques ni de critiquer les pouvoirs en place. Il faudra disposer d’un ...

POLITIQUE ; SOCIOLOGIE ; ENVIRONNEMENT ; ECOLOGIE

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- 112
Cote : SOC-URB/47

La métropolisation est une tendance lourde de nos sociétés. Né aux États-Unis, ce phénomène de concentration de la production de richesses dans de très grandes agglomérations a gagné la France au cours des dernières décennies et l’a profondément transformée. Pierre Vermeren retrace les étapes de cette nouvelle organisation du territoire autour de ses principaux pôles urbains.
Mais l’objet de son livre est surtout d’alerter sur les retombées négatives de cette évolution. Elle a conduit à une éviction des classes moyennes et populaires des métropoles, renvoyées dans une « France périphérique » appauvrie. La crise des Gilets jaunes a mis en lumière les dommages démocratiques de cette partition sociale et territoriale. Encore faut-il leur ajouter les dégâts écologiques causés par le béton-roi, la démultiplication des infrastructures nécessaires à l’approvisionnement et au fonctionnement des métropoles et l’usage massif de l’automobile imposé à leur périphérie.
Le bilan sans complaisance de ces effets délétères de toute nature mène à une conclusion sans ambages : la métropolisation est une impasse. Il n’est que temps de remettre en chantier une vision plus équilibrée de l’aménagement du territoire.
La métropolisation est une tendance lourde de nos sociétés. Né aux États-Unis, ce phénomène de concentration de la production de richesses dans de très grandes agglomérations a gagné la France au cours des dernières décennies et l’a profondément transformée. Pierre Vermeren retrace les étapes de cette nouvelle organisation du territoire autour de ses principaux pôles urbains.
Mais l’objet de son livre est surtout d’alerter sur les retombées ...

SOCIOLOGIE ; POLITIQUE ; ECONOMIE ; DEMOGRAPHIE

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