m
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents  MONDIALISATION | enregistrements trouvés : 5

     

-A +A

P Q

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y

- 307
Cote : SOC-GEN/34

Cette histoire commence dans la nuit des temps. Un homme qui passe remarque un arbuste dont les branches se terminent par des flocons blancs. On peut imaginer qu'il approche la main. L'espèce humaine vient de faire connaissance avec la douceur du coton.

Depuis des années, quelque chose me disait qu'en suivant les chemins du coton, de l'agriculture à l'industrie textile en passant par la biochimie, de Koutiala (Mali) à Datang (Chine) en passant par Lubbock (Texas), Cuiabá (Mato Grosso), Alexandrie, Tachkent et la vallée de la Vologne (France, département des Vosges), je comprendrais mieux ma planète.

Les résultats de la longue enquête ont dépassé mes espérances.

Pour comprendre les mondialisations, celles d'hier et celle d'aujourd'hui, rien ne vaut l'examen d'un morceau de tissu. Sans doute parce qu'il n'est fait que de fils et de liens, et des voyages de la navette.
E.O.
Cette histoire commence dans la nuit des temps. Un homme qui passe remarque un arbuste dont les branches se terminent par des flocons blancs. On peut imaginer qu'il approche la main. L'espèce humaine vient de faire connaissance avec la douceur du coton.

Depuis des années, quelque chose me disait qu'en suivant les chemins du coton, de l'agriculture à l'industrie textile en passant par la biochimie, de Koutiala (Mali) à Datang (Chine) en passant ...

AF-EGYPTE ; AM-BRESIL ; AS-CHINE ; MONDIALISATION

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 470
Cote : SOC-GEN/35

Dans dix ans, dans vingt ans, aurons-nous assez d’eau ? Assez d’eau pour boire ? Assez d’eau pour faire pousser les plantes ? Assez d’eau pour éviter qu’à toutes les raisons de faire la guerre s’ajoute celle du manque d’eau ? Dans l’espoir de répondre à ces questions, je me suis promené. Longuement. Du Nil au Huang He (fleuve Jaune). De l’Amazone à la toute petite rivière Neste, affluent de la Garonne. De l’Australie qui meurt de soif aux îles du Brahmapoutre noyées par les inondations... J’ai rencontré des scientifiques, des paysans, des religieux, des constructeurs de barrages […]. De retour de voyage, voici maintenant venu le moment de raconter. Un habitant de la planète sur six continue de n’avoir pas accès à l’eau. Un sur deux vit sans système d’évacuation. Pourquoi ? E. O.
Dans dix ans, dans vingt ans, aurons-nous assez d’eau ? Assez d’eau pour boire ? Assez d’eau pour faire pousser les plantes ? Assez d’eau pour éviter qu’à toutes les raisons de faire la guerre s’ajoute celle du manque d’eau ? Dans l’espoir de répondre à ces questions, je me suis promené. Longuement. Du Nil au Huang He (fleuve Jaune). De l’Amazone à la toute petite rivière Neste, affluent de la Garonne. De l’Australie qui meurt de soif aux îles ...

EAU ; MONDIALISATION ; ENVIRONNEMENT ; SECHERESSE ; OC-AUSTRALIE ; AS-CHINE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 327
Cote : SOC-GEN/36

« Un jour, je me suis dit que je ne l’avais jamais remercié. Pourtant je lui devais mes lectures. Et que serais-je, qui serais-je sans lire et surtout sans avoir lu ? Pourtant, c’est sur son dos que chaque matin, depuis près de soixante années, je tente de faire avancer pas à pas et gomme aidant mes histoires. Et que serait ma vie sans raconter ? Je n’avais que trop tardé. L’heure était venue de lui rendre hommage. D’autant qu’on le disait fragile et menacé. Alors j’ai pris la route. Sa route.
De la Chine à la forêt canadienne, en passant par la Finlande, la Suède, la Russie, l’Inde, le Japon, l’Indonésie, Samarcande, le Brésil, l’Italie, le Portugal et bien sûr la France, j’ai rendu visite aux souvenirs les plus anciens du papier. Mais je me suis aussi émerveillé devant les technologies les plus modernes, celles qui, par exemple, arrivent à greffer des virus capables de tuer les bactéries, celle qui, grâce à des impressions électroniques, permettent de renseigner sur le parcours d’un colis les chocs qu’il a reçus et si les conditions d’hygiène et de froid ont tout du long bien été respectées.
Cher papier ! Chère pâte magique de fibres végétales ! Chère antiquité en même temps que pointe de la modernité ! La planète et le papier vivent ensemble depuis si longtemps : plus de deux mille ans. Le papier est de la planète sans doute le miroir le plus fidèle et par suite le moins complaisant. » E. O.
« Un jour, je me suis dit que je ne l’avais jamais remercié. Pourtant je lui devais mes lectures. Et que serais-je, qui serais-je sans lire et surtout sans avoir lu ? Pourtant, c’est sur son dos que chaque matin, depuis près de soixante années, je tente de faire avancer pas à pas et gomme aidant mes histoires. Et que serait ma vie sans raconter ? Je n’avais que trop tardé. L’heure était venue de lui rendre hommage. D’autant qu’on le disait ...

MONDIALISATION ; INDUSTRIALISATION ; PATRIMOINE

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 320
Cote : URB-GEN/75

Et si l’on regardait le Monde autrement ? C’est à cela que ce livre s’attache. Il part du constat que bien des analyses de l’évolution du Monde contemporain insistent sur son uniformisation irrémédiable. La standardisation des paysages, des objets et des pratiques, imposée par la globalisation du capitalisme financiarisé, installerait un espace lisse et « plat », où les distances disparaissent, où chaque position vaut une autre, où les différences culturelles s’estompent, où l’individu est aliéné et sa sociabilité appauvrie.

Or, une observation attentive confronte immédiatement à des situations bien plus complexes. En effet, il est frappant de constater que le Monde se différencie de plus en plus en lieux qui s’affirment comme des « prises » sur la mondialisation, des attracteurs et des ancrages de la vie sociale. Ce sont des endroits où la co-habitation des individus se concrétise, se réalise et s’éprouve dans toute sa richesse, sa créativité et son intensité d’expérience vécue. Les « hyper-lieux », où convergent les humains et les réalités matérielles et immatérielles, en sont l’emblème : bon gré mal gré, des sociétés s’y composent et même des formes politiques nouvelles s’y ébauchent.

Ainsi le Monde est à la fois toujours plus globalisé et homogène et de plus en plus localisé et hétérogène : cette tension est constitutive des nouvelles géographies de la mondialisation.

Michel Lussault est géographe, professeur à l’École normale supérieure de Lyon. Il a notamment publié L’Homme spatial. La construction sociale de l’espace humain (Seuil, 2007) et L’Avènement du Monde. Essai sur l’habitation humaine de la Terre (Seuil, 2013).
Et si l’on regardait le Monde autrement ? C’est à cela que ce livre s’attache. Il part du constat que bien des analyses de l’évolution du Monde contemporain insistent sur son uniformisation irrémédiable. La standardisation des paysages, des objets et des pratiques, imposée par la globalisation du capitalisme financiarisé, installerait un espace lisse et « plat », où les distances disparaissent, où chaque position vaut une autre, où les ...

PAYSAGE ; MONDIALISATION

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 192
Cote : URB-VIL/241

Comment la recherche peut-elle nourrir l’action ? Et réciproquement ?
Qui pour répondre à la question si ce n’est un chercheur engagé et atypique, ayant osé s’impliquer dans l’opérationnel ?
Qui mieux que Pierre Veltz ?
Ingénieur, sociologue et économiste, enseignant et chercheur n’appartenant à aucune chapelle, Pierre Veltz est passé à l’action à travers son engagement dans la création du Grand Paris et dans le pilotage de l’aménagement du plateau de Saclay. Les réponses qu’il propose, claires et généreuses, sont d’autant plus précieuses que la période est confuse et que l’urbanisme et l’aménagement peinent à se redéfinir face aux bouleversements économiques, sociaux et environnementaux à l’œuvre depuis le début du xxie siècle.

Pierre Veltz lutte contre la morosité ambiante en démontrant que les villes et les territoires jouent un rôle central dans la capacité de la France à affronter les défis de la mondialisation, de la révolution numérique et de la mutation écologique. Il s’interroge sur l’évolution des relations entre Paris et les capitales régionales et sur une possible « métropole France en réseaux » qui ne feraient pas l’impasse sur la ruralité et les territoires peu denses.
L’ouvrage explore de nombreuses pistes avec des complices et des responsables institutionnels sur des sujets aussi divers que l’avenir de la métropole francilienne, l’avenir du travail et de l’industrie ou l’idée d’une «   Agence France » qui penserait le territoire national comme un projet, considérant l’aménagement du territoire et l’aménagement urbain comme un même combat !

L’ouvrage présente également les trois nominés au Grand Prix, Jacques Lévy, géographe et chercheur de renommée internationale, favorable à un territoire dense et économe, Alfred Peter, paysagiste engagé dans le durable et le rôle des transports comme moteur de l’urbanité frugale et Philippe Madec, architecte‑urbaniste qui a anticipé le développement durable avant la lettre comme mode de pensée et d’action.
« Vivant dans les villes, nous n’en percevons plus l’étrangeté. Comment avons-nous pu édifier ces structures d’une incroyable complexité, en équilibre instable permanent entre le chaos et l’ordre ? L’émotion urbaine, pour moi, n’est plus esthétique, au sens habituel du terme, depuis longtemps. Elle se nourrit du désordre autant et plus que de l’ordre. La vitalité du Caire ou l’énergie de Sao Paulo me touchent plus que la beauté de Sienne, même si je me délecte de cette dernière. Comme dans la musique, c’est le mélange intime, instable, créateur, de la prévisibilité et de la surprise, de l’attendu et de l’inattendu, qui crée la beauté. » Pierre Veltz


https://www.editionsparentheses.com/Villes-et-territoires-en-diagonale
Comment la recherche peut-elle nourrir l’action ? Et réciproquement ?
Qui pour répondre à la question si ce n’est un chercheur engagé et atypique, ayant osé s’impliquer dans l’opérationnel ?
Qui mieux que Pierre Veltz ?
Ingénieur, sociologue et économiste, enseignant et chercheur n’appartenant à aucune chapelle, Pierre Veltz est passé à l’action à travers son engagement dans la création du Grand Paris et dans le pilotage de l’aménagement du ...

VILLE ; MONDIALISATION ; ECOLOGIE ; METROPOLE

... Lire [+]

Z