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Compte rendu du stage de formation organisé par le C.A.U.E. de l'Hérault en 1992 et initié par la Direction de l'Architecture afin d'aider à l'insertion professionnelle de jeunes architectes. Treize architectes témoignent ainsi de leur expérience.
L'objectif du stage : offrir aux architectes une formation plus spécifique et une expérience dans le domaine de l'aménagement communal.
Les modalités : une insertion à plein temps dans un organisme d'accueil - commune, charte et groupement intercommunal, structure départementale, C.A.U.E., permettant une mise en situation professionnelle.
Une formation théorique a été assurée mensuellement par des modules de trois jours, en complément de l'expérience de terrain. La région Languedoc-Roussillon a servi de cadre géographique au stage.

Compte rendu du stage de formation organisé par le CAUE de l'Hérault en 1994, initié par la Direction de l'Architecture afin d'aider à l'insertion professionnelle de jeunes architectes : douze architectes témoignent ainsi de leur expérience. Ce stage a proposé une initiation et une expériementation du métier d'aide à la décision publique, s'appuyant sur la prise en compte des problèmes d'aménagement auxquels peut être confronté une commune ou un groupement de communes et sur l'acquisition d'une démarche et d'une méthodologie d'approche et de traitement des problèmes.

Compte rendu du stage de formation organisé par le CAUE de l'Hérault en 1998/1999, initié par la Direction de l'Architecture et du Patrimoine, afin d'aider à l'insertion professionnelle de jeunes architectes : treize architectes témoignent ainsi de leur expérience. Cette formation a proposé aux architectes d'intervenir auprès des collectivités locales dans toutes les démarches touchant à l'aménagement communal ou intercommunal, depuis le conseil jusqu'aux projets opérationnels, en privilégiant une approche spécifique respectant l'identité méditerranéenne.

Guide méthodologique pour aider les communes à conduire un projet urbain de qualité adapté aux particularités de chacune. La première partie montre comment l'analyse historique permet de comprendre le territoire et d'organiser son évolution. La seconde partie analyse les données de l'aménagement permettant l'organisation d'une réflexion globale sur l'espace urbain et la fonction urbaine. Des fiches thématiques illustrent ces enjeux. La dernière partie décrit les étapes et organise le travail, du diagnostic au projet urbain.

Garrigue... Le mot, employé seul évoque un type de végétation délimitant le « pays méditerranéen », il renvoie aux images du sec, du rocailleux, il fait parfois appel à une histoire agraire et au modèle agro-sylvo-pastoral propre aux régions du sud et aux zones de montagne. Ce terme, aujourd’hui, recouvre une nouvelle réalité. La garrigue reste encore, sur de vastes zones, un écosystème naturel préservé de l’occupation permanente des hommes. Mais elle tend aussi à être le réceptacle de l’urbanisation, de l’extension de la ville.

La logique métropolitaine s’oppose à celle qui se voudrait gardienne d’une mémoire à sauvegarder ; cette relation paradoxale initie cette étude. Celle-ci se construit sur le constat marquant d’une opposition entre d’une part l’émergence d’une nouvelle image et l’apport de nouvelles pratiques, et d’autre part, l’entretien de modes de vie, de discours hérités du passé et le maintien d’une mémoire sublimée, d’une forme de nostaIgie autour des notions d’identité, de tradition, de particularismes locaux. Comment peut-il y avoir coexistence et équilibre entre la figure de la garrigtie terre de mémoire et celle de la banlieue pavillonnaire banalisée ?

Comment ce territoire s’est-il peu à peu valorisé, comment a-t-il été objet de surenchère, voire de spéculation ? L’approche sensible de cet espace révèle une autre spécificité : l’architecture apparaît comme moyen d’expression d’une logique résidentielle individuelle, d’un positionnement de l’habitant par rapport aux autres populations, du quartier ou de la ville.

Comment s’est opéré ce passage de la garrigue « terre des pauvres » à la garrigue « terre des riches » ?

Le nombre de Français vivant en zone rurale ne cesse de progresser. Ces néo-ruraux souhaitent bénéficier d'un cadre de vie plus proche de la nature, mais ne désirent toutefois pas renoncer aux avantages urbains. Faute de moyens, les élus ruraux ne peuvent pas toujours satisfaire leurs attentes. La récente mise en place de la loi solidarité et renouvellement urbain rend désormais possible une stratégie propre au milieu rural. L'ouvrage expose les moyens règlementaires, les ressources financières, les documents de planification qui peuvent être mis en oeuvre pour que les villages puissent organiser une urbanisation cohérente, notamment au travers des intercommunalités.