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Cote : ARCH-GEN/12
Si l'architecture est le lieu d'une nécessaire activité discursive, s'il lui faut traduire dans le langage du calcul, de la règle, des procédures, les contraintes de tous ordres qui sont les siennes (techniques, sociales, économiques, etc...), ne peut-elle pas se penser aussi comme une écriture à part entière, un acte d'inscription et de réinscription de signes mobiles, pluriels, irréductibles, à la commune mesure des définitions et des doctrines ? Les études rassemblées dans ce numéro d'Autrement Dire témoignent d'une conscience aiguë des problèmes posés aujourd'hui aux architectes, de leur interrogation parfois inquiète sur les projets de leur discipline, d'un souci qui n'est pas seulement esthétique, mais aussi éthique envers à ceux à qui s'adressent leurs entreprises.
Si l'architecture est le lieu d'une nécessaire activité discursive, s'il lui faut traduire dans le langage du calcul, de la règle, des procédures, les contraintes de tous ordres qui sont les siennes (techniques, sociales, économiques, etc...), ne peut-elle pas se penser aussi comme une écriture à part entière, un acte d'inscription et de réinscription de signes mobiles, pluriels, irréductibles, à la commune mesure des définitions et des ...
RECHERCHE EN ARCHITECTURE
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